Le texte évoque une réunion du bureau fédéral de la Fédération Nationale des Associations de Cafés et Restaurants au Maroc, qui a eu lieu le 11 décembre 2022, en présence de certains présidents d'autres associations de différentes villes du royaume. Les rapports littéraire et financier de la fédération ont été discutés et approuvés à l'unanimité. Le nouveau statut et la formation d'un nouveau bureau incluant de nouvelles associations ont également été discutés. Des modifications ont été proposées et ont été acceptées par tous les participants. L'un des changements majeurs était le nouveau nom de la fédération, qui a été modifié à la demande des présents pour inclure également les unités touristiques.
En raison de contraintes sanitaires, commerciales et familiales, le narrateur exprime son incapacité à équilibrer toutes ces responsabilités avec son travail bénévole à la présidence de la fédération. Il a proposé à trois reprises de démissionner de la présidence de la fédération et de se contenter du titre honorifique de membre conseiller, mais ses demandes ont été refusées à chaque fois par les participants à la réunion. Par conséquent, il a été contraint d'accepter la présidence de la fédération à contrecœur, sans volonté ni plaisir, mais plutôt comme un fardeau et une responsabilité difficile.
Le narrateur cite un verset du Coran pour illustrer son sentiment de responsabilité et de lourdeur de charge. Il critique également ceux qui s'accrochent au pouvoir de manière étroite, soulignant que cela constitue un obstacle au progrès et à l'innovation, et affirme que la fédération fonctionne sur la base de la collégialité et de la répartition équitable du pouvoir.
Enfin, le narrateur remercie ceux qui ont exprimé leur confiance en lui et les associations qui ont participé à la réunion, en soulignant l'importance de la transparence et de la crédibilité dans le fonctionnement de la fédération.
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